Compte-rendu
des ateliers
de cocréation
Bienvenue dans le milieu culturel québécois !
Asseyez-vous confortablement et accrochez-vous.
Le temps du voyage est estimé à 10 minutes.
01
Méthodologie
À l’automne 2022 et à l’hiver 2023, l’équipe de Culturepédia a tenu une série d’ateliers de cocréation avec le milieu culturel dans plusieurs régions du Québec.
Ces ateliers visaient à :
- mieux comprendre les habitudes et les besoins des organisateurs d’activités culturelles concernant la collecte de données auprès de leurs participants;
- prendre connaissance du niveau de littératie numérique actuel;
- présenter le projet Culturepédia.
Les résultats obtenus ont confirmé notre perception et notre compréhension de la réalité vécues sur le terrain, ce qui nous permettra de bien adapter l’environnement et l’offre de Culturepédia.
RÉGIONS VISITÉES
Chaudière-Appalaches
3 novembre 2022
17 participants
Laval
29 novembre 2022
14 participants
Lanaudière
7 février 2023
8 participants
Laurentides
9 février 2023
12 participants
51 PARTICIPANTS
AU TOTAL
Les ateliers étaient animés par Andrée Harvey et Véronique Marino de l’agence LaCogency. La technique d’animation était inspirée de certains exercices provenant de l’approche de la conception créative (design thinking) et de la méthode agile. La technique d’animation et l’utilisation des différents exercices ont été affinées au cours des ateliers.
Voici ce qu’un participant pouvait vivre avant, pendant et après les ateliers :
AVANT:
Remplir un sondage concernant ses méthodes de collectes de données.
PENDANT:
Assister à la présentation du projet Culturepédia et participer à deux exercices en petits groupes et au retour en plénière.
APRÈS:
Répondre à un questionnaire d’appréciation.
Les discussions et résultats obtenus lors des rencontres sont comparables d’une région à l’autre. Ceux que nous présentons ici ne s’appliquent pas à l’ensemble du milieu mais témoignent plutôt des idées qui ont été soulevées à plusieurs reprises dans les différents groupes de participants rencontrés.
Ce rapport fait donc état d’une partie des réflexions actuelles d’acteurs culturels, sur le terrain, et soulève certaines pistes de réflexion pour mieux comprendre et analyser le contexte de la collecte de données lors d’activités culturelles. Il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive.
02
Sondage
pré-ateliers
Un questionnaire sur les habitudes de collectes de données a été rempli par les participants lors de leur inscription aux ateliers. Plusieurs réponses pouvaient être sélectionnées dans les questions à choix multiples. Les résultats des sondages sont similaires d’une région à l’autre, permettant de dresser un portrait global des réponses obtenues.
Occupation des participants
50%
TRAVAILLEUR CULTUREL
PARTENAIRE PUBLIC
50%
TRAVAILLEUR CULTUREL
PARTENAIRE PUBLIC
36%
TRAVAILLEUR CULTUREL OBNL
36%
TRAVAILLEUR CULTUREL OBNL
10%
ARTISTE
10%
ARTISTE
4%
ENTREPRENEUR
4%
ENTREPRENEUR
Quels outils utilisez-vous pour faire connaître vos activités aux participants ?
25%
Site web
25%
Site web
24%
Réseaux sociaux
24%
Réseaux sociaux
18%
Infolettres
18%
Infolettres
14%
Médias traditionnels
14%
Médias traditionnels
13%
Plateforme d’inscription
13%
Plateforme d’inscription
6%
autre
6%
autre
Quels outils utilisez-vous pour collecter des informations sur les participants de vos activités ?
19%
Par Sondage
19%
Par Sondage
18%
formulaire (en ligne)
18%
formulaire (en ligne)
16%
discussion participants
16%
discussion participants
12%
Réseaux sociaux
12%
Réseaux sociaux
12%
Je ne collecte pas
12%
Je ne collecte pas
8%
Inscription aux activités
8%
Inscription aux activités
7%
création de compte client
7%
création de compte client
6%
Inscription (logiciel)
6%
Inscription (logiciel)
1%
billeterie
1%
billeterie
1%
autre
1%
autre
De quelle façon organisez-vous ces informations ?
36%
tableau Excel
36%
tableau Excel
22%
Base de données
22%
Base de données
17%
ne collecte pas
17%
ne collecte pas
10%
Autre
10%
Autre
8%
documents papier
8%
documents papier
7%
Dans ma tête
7%
Dans ma tête
Considérez-vous avoir suffisamment de retours sur l’expérience des participations à vos activités ?
68%
Non
68%
Non
32%
Oui
32%
Oui
03
Déroulement de l’atelier
Divisés en groupes de 4 à 6 personnes, les participants ont collaboré à deux exercices :
EXERCICE 2
Réflexion sur la collecte de données dans l’histoire de leur persona.
04
exercice n01
Parcours du
participant
1
Lors du 1er exercice, les équipes étaient invitées à ouvrir l’enveloppe dans laquelle se trouvait un type d’activité culturelle, soit :
Par la suite, chaque équipe devait créer le persona d'un participant à l’activité en question.
Finalement, ils travaillaient ensemble à la création d’histoires racontant le parcours de leur persona avant, pendant et après l’activité.
Tranches d’âge des personas créés *
33%
22-35 ans
40%
50 ans et +
27%
10-15 ans
*Aucun persona de la tranche d’âge « 36 à 49 ans » n’a été créé.
Nous avons retenu trois histoires et personas récurrents
ACTIVITÉ DE LOISIR CULTUREL
Une activité culturelle a permis à une femme retraitée de sortir de son isolement.
Diane a 72 ans, elle habite avec son mari, anglophone passionné de véhicules motorisés.
Retraitée de l’enseignement de la littérature, elle se sent isolée et manque de motivation pour renouer avec sa passion des lettres.
Avant l’activité :
- Au centre communautaire de sa ville, Diane voit une affiche promotionnelle des Journées de la culture et s’inscrit à un atelier de création littéraire.
Émotions ressenties : curiosité, envie.
Pendant l’activité :
- L’atelier est animé par une autrice qui partage son parcours avec les participants, leur apprend des techniques et les invite à rédiger une histoire;
- Chaque participant est invité à lire son texte devant le groupe;
- Diane rencontre deux autres femmes de son âge.
Émotions ressenties : plaisir, motivation, joie avec ses pairs.
Après l’activité :
- Diane a de nouvelles amies, elle se confie sur son quotidien, et se permet de rêver à des projets, notamment la création d’un club de lecture.
Émotions ressenties, sentiment : se sent aimée, bien-être, lien d’amitié, changement dans son quotidien, bris d’isolement.
ACTIVITÉ DE DIFFUSION TRADITIONNELLE
Une activité culturelle a aidé un nouvel arrivant à se sentir plus à l’aise dans sa nouvelle communauté.
Hassan, 34 ans, marié et père d’une petite fille de 3 ans. Il est d’origine syrienne, a immigré au Québec, vit et travaille à Laval.
Il travaille en tant que technicien en informatique. Il aime beaucoup les nouvelles technologies. Il a des connaissances au Québec, mais peu d’amis.
Avant l’activité :
- En cherchant une activité à faire avec sa fille, il voit dans les médias sociaux qu’une pièce de théâtre jeunesse a lieu dans un parc proche de chez lui, dans les prochains jours.
Émotions ressenties : curiosité, appréhension par rapport au spectacle extérieur (météo).
Pendant l’activité :
- C’est la première fois qu’il va à un spectacle seul avec sa fille, il est stressé mais se sent plus serein lorsqu’il y rencontre un collègue et sa famille. Il finit par apprécier le spectacle. Il partage des photos avec sa femme.
Émotions ressenties :
1. Émotions négatives : nervosité, insécurité, trop de monde.
2. Émotions positives : sérénité et joie.
Après l’activité :
- Hassan se sent fier d’avoir partagé ce moment avec sa fille. Il propose à son collègue de faire d’autres sorties dans les prochains mois.
Émotions ressenties : joie, fierté, sentiment d’appartenance.
ACTIVITÉ DE MÉDIATION CULTURELLE
Une activité culturelle a facilité la découverte et l’appréciation d’une nouvelle expérience à un adolescent.
Émile, un garçon de 13 ans, débute son secondaire 1 dans une nouvelle école.
Il est de nature timide et il a de la difficulté à se faire des amis. Il a un environnement familial porté sur les arts. Émile préfère jouer sur son téléphone et aux jeux vidéo.
Avant l’activité :
- Émile fait une sortie scolaire au Musée d’art de Joliette pour découvrir l’œuvre de Riopelle.
Émotions ressenties : appréhension, pas de motivation.
Pendant l’activité :
- L’activité d’immersion virtuelle attise la curiosité du jeune, qui se sent suffisamment à l’aise pour poser des questions sur la technologie utilisé et se lie d’amitié avec un jeune de sa classe.
Émotions ressenties : curiosité, étonnement, joie, nouvelle amitié, se sent à l’aise de prendre la parole en grand groupe.
Après l’activité :
- De retour chez lui, il en parle à ses parents et leur propose de retourner voir l’exposition.
Émotions ressenties : joie, fierté, envie de retourner à l’école, hausse d’intérêt pour les arts numériques.
05
exercice n02
Le bateau
2
Lors du deuxième exercice, la métaphore de la navigation a été utilisée pour réfléchir aux possibilités concernant la collecte de données en lien avec les histoires créées lors du premier exercice. Cet exercice s’intitule Le bateau. Les participants étaient invités à réfléchir à l’atteinte du monde idéal (quoi collecter et comment), aux ancres (freins à la collecte de données), aux vents favorables (aide à la collecte de données) selon leur point de vue de travailleurs culturels.
Bateau
Le monde idéal
S’il n’y avait aucune limite et s’ils pouvaient avoir accès à toutes les pensées et les émotions de leur persona, quelles seraient les informations les plus précieuses et prioritaires à collecter ?
Ce que nos participants veulent savoir :
Quelle est la motivation du public à participer à cette activité ?
Quel est le déclencheur initial (moment de bascule) de l’intérêt pour les arts et la culture ?
Pourquoi le public vient-il et pourquoi ne vient-il pas ?
Comment le public a-t-il entendu parler de cette activité ?
Quelles sont les attentes du public ?
Quels sont les profils sociodémographiques des publics ?
Quelles sont les émotions vécues par le public tout au long de leur expérience ?
Bateau
LES ANCRES
Quels freins à la collecte de données ont été identifiés par les équipes ?
Le manque de temps.
Le manque de ressources humaines et financières.
La difficulté à accéder aux informations : la plupart du temps, aucune inscription n’est requise lors d’activités gratuites, confidentialité des données et conversation informelle (bouche-à-oreille).
Les participants qui ne répondent pas aux sondages. C’est encore plus observable chez les jeunes (mineurs) et les personnes âgées.
La difficulté à collecter et analyser des résultats qualitatifs comme la mesure des émotions.
Bateau
LES VENTS FAVORABLES
Quels sont les éléments en place qui aident les travailleurs culturels à collecter ces données ?
C’est un sujet dans l’air du temps : sensibilisation à la collecte de données au sein des organismes, et des partenaires publics et dans la société.
La mutualisation des connaissances et l’abolition de la distance grâce aux outils numériques.
Partenariats financiers; partage des expertises; consultants; réseautage.
Le numérique : code QR, accessibilité aux données, réseaux sociaux.
Nouvelle ère : capacité de mettre des mots sur nos émotions, habitude de donner notre avis dans des sondages.
Il existe plusieurs canaux de communications disponibles pour entrer en contact avec les publics.
06
Pistes de solution
pour la collecte
Nous avons demandé aux participants de réfléchir à des pistes de solution afin de collecter ces données. En voici quelques-unes :
Établir des groupes de discussion avec des participants afin de reconnaître l’impact social de la culture (ex. : bris d’isolement, émotion forte, accès au souvenir, renouveau de la créativité);
Travailler avec des psychologues en tenant des discussions individuelles après une activité;
Sonder les publics et les non-publics par des mobilisations ciblées (porte-à-porte, « brigades d’émotions »);
Tenir des études à long terme sur les participants pour mesurer l’évolution personnelle du public;
Mutualiser les données de divers organismes pour établir un portrait global des « consommateurs » de culture;
Utiliser des études existantes et s’inspirer d’autres secteurs comme le sport et le tourisme pour faire valoir l’effet bénéfique de la culture sur les communautés.
07
Appréciation des participants
Un questionnaire d’appréciation a été envoyé aux participants quelques jours après chaque atelier. 47 % des participants y ont répondu.
Ce que l’on peut tirer des réponses à ce questionnaire :
En général, les participants semblent, avoir aimé leur expérience;
Les ateliers semblent leur avoir apporté des pistes de réflexion concernant la collecte de données auprès de leurs participants. Cependant, l’opinion des invités concernant leurs apprentissages et leurs intentions d’appliquer de nouvelles façons de faire dans leur pratique courante était plutôt neutre;
La majorité des participants ayant répondu au questionnaire désiraient recevoir un compte-rendu des ateliers de cocréation ainsi que des nouvelles du projet Culturepédia.
08
Deux autres
initiatives
L’équipe de Culturepédia a été approchée par deux groupes du milieu culturel pour offrir des ateliers de cocréation sous le thème de l’impact social. Lors de ces ateliers, les participants ont réfléchi à la vision de leur impact ainsi qu’aux manières de le valoriser auprès de leur public et de leurs partenaires.
1.
Le 6 décembre 2022, dans le cadre de l’activité de clôture du Lab culturel de Culture pour tous
2.
Le 17 janvier 2023, au Musée des beaux-arts de Montréal avec les musées lois*.
*Les quatre institutions sont soumises à la loi sur les musées nationaux du Québec.
Activité de clôture du Lab culturel
6 décembre 2022
16 participants
- Incubés de la 7e cohorte du Lab culturel
- Participants au Parcours C3
- Travailleurs du milieu culturel
L’activité de clôture du Lab culturel s’est tenue au campus de Montréal de l’École des entrepreneurs du Québec. Organisé en partenariat avec Parcours C3, cet événement a mis à l’honneur la thématique « Données et impact social » au moyen d’un atelier de cocréation et d’un panel, dont les invités étaient David Lavoie, directeur général du Festival TransAmériques, et Christian Bélair, président et associé principal de Credo.
Résultats de l’atelier
Quel impact social les participants pensent-ils avoir :
Impact local = Professionnalisation des artistes/travailleurs culturels et fierté régionale
Impact sur les initiés à la culture et sur des clientèles spécifiques
Impact environnemental et sociétal
Accès de la population à la culture et à l’art
Rôle d’éducation = Transmission d’un savoir
Quelques idées identifiées pour valoriser leur impact :
Avoir accès aux non-initiés pour mieux les comprendre et les faire participer
Création d’un indicateur d’impact social pour que celui-ci soit reconnu dans la société au même titre que le sport et les bonnes habitudes de vie – Reconnaissance absolue de l’impact social
Création d’instances régionales en impact social – Vision adaptée à chaque région
Atelier au Musée des beaux-arts de Montréal
17 janvier 2023
11 participants provenant des musées lois :
- Musée des beaux-arts de Montréal
- Musée d’art contemporain
- Musée de la civilisation de Québec
- Musée des beaux-arts du Québec
L’atelier s’est déroulé au Musée des beaux-arts de Montréal lors d’une journée de réflexion dans le cadre de la phase de planification du projet de mutualisation des données d’usage, afin d’explorer le potentiel mutuel d’arrimage et de contribution des projets. Le groupe était animé par Sophie Théberge, consultante et étudiante à la maîtrise en développement durable. En première partie de l’atelier de cocréation, Mme Théberge a présenté certains travaux de musées britanniques et américains sur l’impact social.
Résultats de l’atelier
Quel impact social les participants pensent-ils avoir sur les trois piliers RSE- Responsabilité sociale, équité/diversité/intégration et environnement:
Responsabilité sociale : contribuer à l’éducation, accès à tous, démocratisation et devoir de mémoire
E-D-I : Accessibilité, éveil des consciences, cocréation avec les communautés et briser l’isolement
Environnement – Écoconception, sensibilisation à l’environnement et éducation
Quelques idées identifiées pour valoriser leur impact :
Favoriser le dialogue entre le visiteur et l’institution
Consolider les efforts de l’équipe vers des objectifs communs et clairs
Intégrer la « rentabilité sociale », dans l’évaluation des activités
Réalisation commune que l’impact social est au cœur de la mission de tous les musées !
09
Quel bilan peut-on faire ?
La série d’ateliers que nous avons menée dans plusieurs régions du Québec nous a permis de mieux comprendre la réalité du milieu et de voir que les mêmes constats revenaient souvent de la part de nos participants :
Une crainte générale concernant le point de vue éthique de la collecte d’information. Quelles sont les données sensibles et qu’en est-il de la loi sur la vie privée ?
La plupart collectent des informations sur leur public mais ne savent pas quoi en faire, ni comment les valoriser.
Une majorité ont un bon niveau de littératie numérique, ce qui laisse penser que le travail du réseau des ADN (agents de développement numérique) a porté ses fruits.
Forts de cette expérience auprès de nos pairs, nous souhaitons entamer une démarche de collecte de données. Pour ce premier pas, l’objectif serait de sonder un échantillon du public des Journées de la culture 2023 afin de mieux comprendre à quel point l’événement remplit sa mission de rendre la culture accessible à l’ensemble de la population québécoise. Cette démarche initiale sera aussi l’occasion de tester les outils de collecte pour mieux connaitre et comprendre le public des Journées et d’utiliser ces informations pour développer de futures initiatives de collecte de données, plus approfondies.
Les partenaires de réalisation des Journées de la culture désirant se joindre à cette entreprise pourront facilement inviter les participants à leurs activités à balayer un code QR pour remplir un court questionnaire. En contrepartie, ils auront accès aux résultats des données récoltées.
Élaboré en étroite collaboration avec le centre de recherche en art et engagement social Artenso, ce projet fera en sorte que les données puissent être réutilisées par le milieu de la recherche scientifique, et que cette démarche soit réalisée de manière éthique.
Bien que créé expressément pour cette collecte, le questionnaire pourra être réutilisé par les acteurs culturels dans le cadre des activités de leur choix, tout au long de l’année.
Mais Culturepédia, c’est quoi ?
La culture et sa médiation avec ses publics peuvent avoir des impacts positifs sur de nombreux aspects de la société. Parmi les plus importants, on peut évoquer la santé et le bien-être des individus et des communautés, la démocratie, la solidarité, la citoyennement culturelle, la diversité, l’inclusion et le partage du savoir-faire.
Culturepédia est une fiducie d’utilité sociale dont la mission est de contribuer à la mise à disposition de données pour renforcer notre connaissance des publics et de l’impact de la culture. Elle a pour objectif d’aider les organisations culturelles et les partenaires de la culture à atteindre leurs objectifs d’impact social en favorisant le partage et la mutualisation de données culturelles. Le cadre de la fiducie permet la protection, le traitement et la valorisation des données, tout en y assurant une gouvernance éthique, prudente et responsable.
Pour en connaitre davantage sur Culturepédia, nous vous invitons à visiter le site culturepedia.ca
Et à écouter notre série de 10 balados intitulée Culturepédia : les données au service de la culture. Une vingtaine d’experts des secteurs culturel et numérique y ont collaboré et y abordent diverses thématiques et projets.
10
Remerciements
À nos grandes alliées
Andrée Harvey et Véronique Marino de LaCogency.
Aux partenaires de Culturepédia
Illustrations : Youloune Design : Atelier Atoca Développement : Shany Bélanger